• Lisy, Amy and Cy

    Fiction by me (Avec une inspiration d'une tendre et vielle amie ) 

    Eh, oui les vampires restent un thème sensuelle à extraire. 

    Je flemme de présentation, c'est encore une déportation de texte, d'un blog à un autre

    Remue ménage, lent et lent.

     

    Ho non je n'ai pas de nom

     

     

     et comme je suis sympa : 

    Le proologue !!!  (NE VOUS DECOURAGER PAS PAR A LA LECTURE DU PROLOGUE, c'est juste pour laisser impression que les  chapitres suivant sont un peu sympa ) Le prologue sera le dernier à être réécris je pense. (Afin de bien tout lier... ) 

    Le chapitre 1

    Le chapitre 2

    le chapitre 3

    Le chapitre 4

     

     [RE EDIT : (Cadeau empoisonné, il y  a beaucoup beaucoup de travail a faire sur ces textes... [J'ai presque honte] )

     

     

     

    Je pense encore à refaire un "vrai prologue" et des moments mieux développé.... 

    J'écris pour moi, mais j'écris un peu pour la reconnaissance et la gloire, donc dites moi donc que vous m'aimez, et que les histoires décousu, à coeur ouvert vous emplisse de quelques émotions 

     

     

    Si vous avez pas bien compris des trucs il y a des infos personnage par ici 

    Et si, à la lecture du chapitre 3 vous souhaitez éclaircir quelques bredouille essayer par là

     

     

    Bise bise 

  • (prologue )

     

     Mesdames et Messieurs, bonjour. Ici Radio Flash. La terrible vague de meurtre s'intensifie. Une femme X témoigne : des corps éparpillés dans son jardin et dans tout le voisinage. Nous sommes en deuil pour les victimes et prions que nos équipes d'enquêtes arrivent à bout de ce, ou, ces criminels. Hélas rien ne semble mener à une piste. ~ Sur ce, passez une agréable journée ~ L'amour est notre seul préoccupations, avec nos bougies parfumées, l'élu de votre cœur sentira nos roses et chrysanthèmes fleurir dans tout son être ~ "

     


    Une jeune femme qui écoutait distraitement la radio, l'éteignit soudainement.

     

    Chapitre 1 

     


    -"passer une agréable journée ?"  avec ces espèces de tueurs en séries qui traînent en ville, cela fait déjà des mois que ca durent.... La jeune femme soupira, ferma les rideaux de son salon et alla s'asseoir sur son fauteuil écrivant quelques notes sur une feuille. Si l'on regardait bien il y'avait déjà pas mal de carnets et feuilles sur la tables basses et aussi,  accrochés aux murs de chaque pièce.

    On frappa à la porte, n'attendant personne elle se décida néanmoins à ouvrir la porte après quelques minutes de réflexion. Un jeune homme, assez jeune, il devait sans doutes n'avoir qu'à peine dix-huit ans. Elle lui sourit et constatant qu'il ne dirait rien, l'aida par un "Oui ? Bonsoir..."

    -Oh bonsoir, excusez-moi de vous déranger, pourrais-je entrer ? Je dois vous parler, Mademoiselle Senri. Le garçon, parlait d'une voix si pur et si belle, qu'elle ne put que le laisser entrer. Son visage très enfantin plissait tout de même très facilement. "Un enfant à la vide dure pour des traits si enfoncé" pensait-elle. Il devrait sans doute savoir qu'elle était des forces de l'ordre, était-il un enfant désespéré ? Non : son sourire trop charmant, trop élaboré, lui transmettait multiples questionnements. Elle lui proposa néanmoins un thé. Lorsqu'elle revenu, deux tasse à la main se demandant  qui pourrait être ce jeune homme. Lorsqu'elle retourna dans le salon, il y avait une jeune fille à côté du garçon. Encore plus souriante que le garçon et d'une humeur bien plus douce et sincère. Senri aussi étonnée soit-elle, garda d'abord son calme, elle regarda attentivement ces deux enfants.

     

    -J'aimerais savoir qui est ce que j'invite chez moi. Elle servit les deux tasses aux deux enfants, bien sur la seconde tasse était initialement pour elle, mais il en va à sa raison d'offrir  à boire aux "invité" -Si l'on puis appeller ces enfants ainsi- à la place Senri fumait une cigarette.

    -Bonsoir, Commenca la fillette je suis Amy et lui c'est Léon. Nous aurions seulement besoin de vous prélever du sang, il me semble qu'il nous en faudrait quantité exorbitante, mais ne vous en faites pas, nous ferons attention à ne pas vous tuer, ni vous transformer en vampire sanguinaire, ni même vous otez la vie.

    Léon laissa la franchise de la jeune fille parler,  bien amusé, mais au moment où elle prononça le mot vampire, il rigola. "Amy, tu vas effrayer Senri !"

    Senri recula effectivement d'un pas, "c'est pas vrai" soupira t-elle.   "Que voulez-vous ?"

    Amy, sorti de sa poche une seringue. Senri fronça les sourcils et lacha sa cigarette. TUT-TUT-TUT : son téléphone sonna, elle chercha son portable dans sa poche, c'était l'un de ses collègues : Olivier. "je dois prendre un appel" elle s'écarta des enfants.  "Allo ? Oui, mais il y a des en-" lorsque soudain, une autre personne arriva et prit la jeune femme, sans quelle ne puisse réagir, le téléphone à la main, la voix d'homme haussa la voix  "Senri ?"
    La nouvelle venue répondu à la voix très sereinement  "Yo', tout va bien, Senri a eu un petit malaise je l’emmène dans sa chambre. Au revoir" elle raccrocha.

    -Léon, Amy, vous avez perdue ça. Elle déposa la jeune femme au milieu d'eux, comme pour séparé Léon d'Amy. Senri était comme paralysé, elle ne bougeait pas. Elle avait les yeux ouverts, mais tout ces membres étaient crispés.

    -Lisy ! S'exclama la jeune Amy , c'est géniale je ne pensais pas que tu viendrais !

    Amy, déposa la seringue sur le bras de senri et préleva du sang, pendant que Léon caressait les cheveux de Senri "Ne t'en fais pas, tu te réveilleras peut être en rogne, mais je te promet qu'on ne viendra plus te déranger et tu  ne te souviendra de rien. Allez dors bien." 

     

    -Léon, il faut que nous partons. Dis d'une voix basse Amy.

    -Oui, c'est fait, nous pouvons y aller. Léon s'étira nonchalamment.

    Une sirène reconaissable tintait dans le voisinage.

    -Qu'est ce que vous avez foutu...tout les deux ? Il y a déjà les flics... Lisy soupira, elle pris la seringue que Amy tenait sans force, et s'en alla. Amy et Léon se regardèrent, ils n'avaient pas tout de suite compris, que Lisy était parti sans eux.

     -Lisyyy ! S'écria Amy.

    -Tu es bien sure qu'elle est notre alliée.... ? Tu l'as prévenue ?  S'accroupissait Léon en regardant Senri qui était toujours au sol. Je me demande si elle va se souvenir... Je ne suis pas sure que Lisy sois fiable finalement. Il soupira fatigué de ce questionnement. L'alarme-aux-flics s'étant éloigné (C'était une ambulance qui ramenait un patient vers une petite clinique, tout près.)  Amy n'eut pas le temps de soupirer de soulagement  qu'on frappa à la porte et que deux policiers entrèrent Léon touchait Senri et Amy, ce qui les firent, sembler, passer inaperçu. Les policiers montèrent à létage, silencieusement en toute tactique. "Maintenantchuchota Léon à Amy. Les deux enfants coururent jusqu'à la porte, un des policiers se retourna, en surprenant un bruit, il vit alors la femme allongée au sol, inconsciente. 

    -je sais que vous êtes là, satané bandit ! Il se précipita vers la jeune femme ameutant ces collègues, qui quelques uns courraient vers les alentours

    Avant cela Léon lui sourit, amy également et tout deux s'en allèrent en marchant. Le policier eut un tremblement de colère et essayer de voir le pou de la jeune femme. "senri ? Vous m'entendez ? " Il sentait les deux enfants déjà loin. "Nous vous retrouverons. "

    Quelques pattés de maisons plus tard, tout heureuse Amy s’exclama "on a réussit Léon !"

    -Pas tout à fait, lui répondit il. On a réussit à avoir du sang, mais Lisy nous a volé. La police connait sans doutes nos identités ou c'est pour bientôt et j'ai du utilisé ma faculté, je suis épuisé. Je veux dormir. Léon commença à se laisser tomber sur l'épaule d'Amy. Elle s’essaya contre un mur, laissant Léon se poser sur elle.

    -C'est un échec, Amy. Murmura Léon.

    -Je suis désolée..Je crois que c'est de ma faute finalement. Elle lui tendit son poignet et il croqua délicatement au niveau d'une veine. Après la première goutte, il ouvrit les yeux et buvait plusieurs gorgées frénétiquement. Il embrassa la main d'Amy et embrassant son bras jusqu'à son épaule et son cou. La jeune fille était vraiment rouge, même si elle avait l'habitude de se faire grignoter, Léon était de plus en plus "sensuelle" avec elle. Il lui glissa même à l'oreille un : "je t'aime amy" Léon attrapa délicatement les cheveux d'amy et les déposa de l'autre coté de son cou. Il lui caressa les cheveux, et plongea sa tête dans son cou. Lisy se laissait faire. Elle avait l'habitude de cette scène. Mais cette f ois, ci elle réagissa "Léon, calme toi...." Léon retira ses crocs et regarda Amy qui était déjà si pale. Il la regarda dans les yeux il déposa un baisé sur sa bouche. Amy ne bougeait pas, ne répondait pas à ce baiser. Il s'écarta d'elle, et au même moment, une fille lui envoya un coup sur la tete, il se cogna d'ailleurs à Amy. La fille qui venait de l'agresser était en faite Lisy. Amy après le choque de Léon sur elle s’évanouit, elle était déjà épuisée. Lisy se précipita vers Amy.

    "Je vais te tuer Léon Lor Feulin. Je vais te tuer." Lisy prenait la température d'Amy, lui donna de l'eau, du sucre. Lui tapotant la joue "Amy..?"

    Léon regardait Lisy s'occuper d'Amy. Il avait un regard triste "Lisy... même si tu es une ennemie ou une alliée étrange, je suis désolé.. Excuse moi." Il baissait la tête. Lisy pris Amy, la portant; elle regarda Léon, elle soupirait, "tait toi." Elle s'en alla avec Amy dans les bras laissant Léon seul.Il s’essaya contre un mur, il fuma une cigarette, il avait quelques larmes qui coulaient. "Amy...Lisy..."

     

     

     

     

    ------> Chapitre 2

     

     

     


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  • Chapitre 1)

     

    Stare by Hyan-Doodles

     

     

     

    Lisy avait amené Amy chez elle. Elle l'avait déposé sur un lit. Elle l'avait couverte, et avait préparer un encas et un chocolat chaud qu'elle avait déposé à côté de cette derniere qui avait perdue connaissance. Lisy l'avait déposé dans une des chambres à l'étage. Elle était alors descendu dans le salon principale. Elle s'était assise sur un fauteil et écrivait quelques choses dans un carnet[RE EDIT : Vestige de lacune de style ]

     

    CHAPITRE 2  :Partie de thé

     

     

    Lisy s'occupait toujours d'Amy, elle la ramena rapidement chez elle. Amy de tout le chemin ne s'éveillait pas, alors Lisy pris garde à la coucher soigneusement. Elle lui caressa le visage, injuriant très calmement Léon. Elle se décida à laisser Amy et se dirigea dans son salon.

    Quelques minutes plus tard, une jeune femme d'une vingtaine d'année s'approcha de Lisy. "Lady Leybourne,  il y'a deux jeunes hommes à votre porte. Devrais-je les faire entrer ?" Lisy regarda la femme et soupira, elle se leva. "Ne vous occupez pas d'eux, mais faites les entrer." Lisy se dirigea dans un couloir, elle semblait préssé. Elle ouvrit une porte et la referma aussi tot. Pour ne pas être indiscret laissons la quelques minutes. La jeune femme, elle, ouvrit la porte aux deux garcons, un était Léon LorFeulin, à ses côtés il y'avait un homme qui semblait etre agés seulement de quelques années de plus. Il tenait dans sa main 2 roses rouges et une blanche. Ses roses étaient tenues par quelques longues herbes. Léon s'adressa à la femme "Lady Leybourne et Lady d'Ill Lusion sont elles bien ici ? " Il avait sourire presque angélique. La jeune femme ne savait pas trop quoi répondre, elle sorti juste un "Je vous en pris, entrez." Et celle ci s'eclipsa. Léon eut un sourire joueur, "William, allons donc dans ce merveilleux salons !" 

    -Allons y.

    Les deux individus entrèrent, sans se géné, et visibilement connaissaient bien les lieux. Ils s'asseyerent dans le salon? Léon avait pris la place ou Lisy était auparavant assise. Il le savait que c'était sa place. Les deux garcons ne parlaient pas, ils attendaient. C'est seulement après quelques minutes que Lisy arriva , elle regarda Léon, puis ne s'attardant pas sur William et pris ces papiers qui étaient posé sur la table et les rangea dans une pochette.

    -Lisy. Je me demandais ce que tu pourrais bien m'échanger contre la jeune fille qui dort à l'étage. Mais je me suis dis que de l'échanger ne serait pas correcte, alors il me vint une idée. Il regarda William. "Dispose donc, cette discussion ne te concerne pas." William donna les fleurs à Lisy, et sorti du salon. Lisy regarda les fleurs et les posa négligemment sur la table. "Quel était ton idée ? " demanda t-elle distraitement. Léon enchaîna : "Et si, on lui demandait où voudrait-elle vivre, ce qu'elle souhaite. Ne sommes nous pas égoiste de nous confronter par cette jolie et inocente créature. " Il se leva et pris la rose blanche. "Ne penses tu pas que la blancheur attrape la poussière, si elle est en contacte de saleté. Je ne cherche pas à t'insulter, parce que je pense que nous sommes exactement de la même espèce, et que je ne pourrais m'insulter de la sorte. Mais cette pureté n'est -elle pas là pour te sauver de ces nauséabonde ? "

    Lisy avait écouté le jeune homme. "Je ne comprends juste pas ta motivation alors."

    -Moi aussi je veux être sauver par cette belle enfant. Je pensais que tu allais me demander pourquoi renvoyer William. Mais peut être avait tu déjà compris, je ne sais pas si je te sous estimes ou sur estime. Lisy Leybourne, Lisy, je me permet donc de t'appeller par ton prénom puisque tu m'appelle Léon.

    Lisy était entrain de sortir un vase et y déposa les roses rouges. "Je n'aime pas trop le rouge, ton choix de couleurs est un peu mauvais mon petit Léon."

     

    Léon lui envoya la rose blanche. Lisy ne l'avait pas rattrapé, elle la ramassa et la déposa sur la table.Léon la fixait. Lisy s'approcha de Léon. "Serait-ce le moment où nous les monstres nous restons entre nous et nous embrassons ?

    Léon eut un léger sourire. Ce n'est peut être pas mon rôle, mais je serais ravi d'avoir cet honneur. Continua-t-il tout en s'approchant de Lisy, elle ne bougeait pas, il lui déposa un baiser sur le front. Lisy était décidément assez petite, si elle avait les quelques centimetres qui lui manquait, Léon l'aurait surement embrasser autre part. Il garda ses lèvres sur son front et ne bougeait pas. Elle se retourna, et léon se recula. Elle prit la rose blanche et la mit entre les fleurs rouges.

    "Ce n'est effectivement pas ton rôle. Je pense que tu me répugne." Elle pris un mouchoir et essuya son front. Léon souriait, il avait envie de rire. 

    "Tu m'amuse Lisy Leybourne, je me demande ce qui se passe dans ta tête, tu n'étais pas sure de toi ?" Elle regarda Léon dans les yeux. 

    "C'était une punition, pour n'avoir su rattrapé cette belle rose qu'après la chute."

     Léon eut un léger étonnement, il souriait  "Je serais ravi de te punir, lorsque tu te conduis si mal" Il se moquait d'elle, parce que peut être avait il été légèrement vexé. "Mais si tu cherche une rédemption à tout tes péchés, peut etre te faudrait il plus qu'un dégout. Ne devrais tu pas coucher avec ton ennemi juré ?"

    -Je ne cherche pas à me faire pardonner, je ne cherche pas à être guéri de mes malheurs ni à être sauver, ne t’associe pas à Moi, mon petit Léon. Lui souria-t-elle. N'essaye pas d'être ce que tu n'es pas, mon petit Léon. Elle lui ébouriffa les cheveux. Si tu veux que je te rende quelques choses que je vous ai emprunter, sache que je ne vous le rendrait pas. N'embarque pas Amy dans nos histoires de familles, et d'ailleurs ne cherche pas à t'introduire là ou ta place n'est pas. Reste donc le petit Léon Lor Feulin, ne bénéficie tu pas de tout les avantages possibles ? Ne penses tu pas que te faire voir est inutile et ne t'attirera que des problèmes ?

    -Je ne le penses pas. Mon objectif n'est pas le même que le tiens. Je ne suis pas sure de te raconter tout mes secrets, alors je t'en dirais qu'un, celui qui ne concerne que moi : Je ne suis pas ici pour une histoire de sang, mais je voulais m'excuser à Amy

    Lisy le regarda. "Elle dort encore. Tu sais très bien que tu n'as pas à t'excuser, Amy viendra en premier s'excuser auprès de toi. Ne viens pas chez moi, pour voir Amy alors qu'elle vient naturellement vers toi."

    C'est à ce moment qu'Amy s'éveilla  et  croisa, William dans un couloir. Ils se saluèrent.

    -Will ? Que fais tu ici ? Léon est avec toi ? Elle était dès son réveille pleine de vie

    -Bonjour Amy. Oui, il discute avec Lisy. J'ai entendu que tu avais perdue connaissance à cause de Léon. J'en suis vraiment désolé. Est ce que tu vas mieux ?

    -Oui ! S’exclamât-elle, Je suis en pleine forme ! Allons les voir ! Je me demande de quoi ils parlent, j'en ai marre d’être exclu. Tu viens Will ? Elle attrapa sa main et courru dans les escalier jusqu'au salon.

    Lorsque ces deux là arrivèrent, Lisy jouait du Piano et Léon la regardait puis regarda Amy tenant encore la main de William. Amy ne le lâchait pas et s'approcha, avec William, près de Léon. "Léon, désolée.."

    Il fronça les sourcils, il serrait ses poings et ne répondit rien. William pris la parole "Lady d'Ill Lusion, ne devriez vous pas vous reposez encore un peu ?" Elle le regarda puis lui sourit, "oui tu as raison, alors je saluerais juste Léon, et rassure Lisy, je sais qu'elle s'est inquiétée. " Elle se stoppa net. Elle venait de se souvenir que la police était sur leurs traces. "Ne serait-ce pas risqué de rentrer maintenant ? Lisy, je vais faire du thé ! Tu viens Will ?" Elle le tenais toujours, étrange n'est ce pas ? Lisy, elle n'avait plus rien dit depuis qu'elle était sur son piano. Quant à Léon il soupira. Amy était déjà dans la cuisine avec Will.

    Léon murmura à Lisy, ou à lui même "Je viens de recevoir une double punition, pas toi ? N'est ce pas le plus horrible alors qu'une personne s'excuse de notre propre faute ? Et aussi, le cœur de notre Amy est déjà sous le charme de William. Que pourrait on faire ? N'es tu pas dans le même problème que moi ?" Il soupirait, Lisy jouait encore.

     -Will... Préparons du thé ! Elle était toute excitée, elle avait laché la main de William pour sortir une boite de thé, elle avait sorti une boite au fruit rouge. Elle faisait bouillir du thé. Et attendait.

    -Ne faudrait il pas récupéré le sang pour votre maitre ? Demandait-il.

    -Ne t'en fais, je pense que Lisy s'inquiète pour Léon et pour moi, elle doit vouloir endosser une responsabilité pour nous trois et le lui donner elle même. Enfaite je ne sais pas trop ce qui lui trotte dans la tête. Elle parlait d'elle avec un grand sourire, et même éclata de rire. Tu sais, on peut avoir confiance en elle, après tout elle est ma toute première amie. Peut être même la seule.

    -Ne lui donner pas toute votre confiance, juste pour ca, c'est pareil pour Léon. Il s'arreta un temps. Moi aussi. Vous qui êtes qu'une humaine, des gens comme nous ne faisons peut etre que vous utiliser.

    Elle souriait encore, " et bien utiliser moi autant qu'il vous faut. Je n'ai pas grand chose à perdre,et si je venais à souffrir je pourrais toujours me suicider". William la regarda étonné puis sourit à son tour "je ne le permettrais pas, ma petite Amy."

    -Tu vois, je n'ai rien à craindre, vous m'utilisez peut être, mais pas une fois j'ai été triste !

    -Tu es beaucoup trop enthousiasme pour ce monde.. Il lui baisa la main, elle rougissait un peu mais semblait sincèrement heureuse.

    -Apportons le thé, will !

    Ces deux là rejoignirent les deux autres. Amy servit du thé pour quatre. Elle avait apporté des gâteaux, que lisy avait préparé plus tôt. Les quatre enfant prirent donc un thé.

     

    Les quatre individu dans un silence, presque absolue buvait le thé. Amy remarqua enfin les roses, et un énorme sourire se dessina sur ses lèvres. "Elles sont magnifiques !" Léon eut un léger sourire et s'approcha de la jeune fille.

    -Je suis venue accompagné de ces roses pour m'excusez. Il prit la main d'Amy et la porta doucement à ses lèvres, sous les yeux percant de Lisy. William, lui, tait assez détacher à tout cela. Amy avait rougit mais le laissait faire. Elle souriait, puis caressa les cheveux de Léon.

    -Ne t'en fais pas, mon Léon, je vous ai déjà promis à tous, mon âme et mon corps. Côtoyer ce monde ne me dérangera jamais, et si naturellement je n'aurais jamais dut vous connaitre, votre curiosité a lié nos destins, et je peux bien ma partager ma vie avec les vôtres et dans mille ans vous m'oublierez ? La belle affaire, pourvu que je puis faire de ces quelques décennies une merveille. Elle hésita un moment puis repris. Je ne prétend pas pouvoir vous rendre heureux et de vous apportez quelques choses, mais je suis vraiment heureuse de vous connaitre et d’être aussi proche de vous... Et je n'ai pas peur de la mort qui s'approche, je l'attends le poing fermé, je cmpte vivre le plus longtemps possible pour rester encore un peu près de vous. Vous êtes mes trois plus précieux amis, vous êtes ceux que je n'oublierais jamais ! Elle s’arrêta brusquement rougissante.  Lisy la pris dans ses bras.

    -Ma petite Amy, nous prendrons soin de toi, et si un jour tu veux partir le plus loin possible de nous, nous t'aiderons à t'enfuir. Et si tu rencontre quelqu'un comme toi, nous te lui confierons.

     

     

     

    Chapitre 3  <-------

     


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  • Chapitre 2 <---- 

     

    Chapitre 3 : Famille Leybourne

     

     

     Chapitre 3 : Au coeur de la cité

     

    Au lendemain, Amy s'était retrouvée seule dans la demeure de son amie. William même semblait être déjà parti. Elle avait passé la matinée à fouiller chaque pièce et, comme si cela ne lui suffisait pas ou comme si elle avait put imaginer qu'on jouait à cache à cache avec elle; avait repassé plusieurs tours  de différentes manières. Après s'être épuisée à la tâche, elle déjeuna seule sur la table où était déposée une lettre à son égard daté d'aujourd'hui. 

     

      Amy, étant jeune fille bien élevée et naturelle, ne laissait aucune trace de son passage. Petit pas soigné, regard curieux fusant à tout va, sans hésitation et d'une gêne si gracieuse. L'innocent et le naturel : embarra de la franchise. 

    La lettre ne racontait seulement que Lisy partait en filature. Soulignons seulement l'absurde de cette lettre, qu'une filature devrait rester silencieuse et ne pas même s'enfermer dans quelques mots qui y voient clair. En tout cas, Amy ne s'inquiétait pas, elle avait l'habitude de rester seule au manoir Leybourne. 

     

     

    Lisy vêtu d'un cape sombre, passait entre les marchés et la foule pour enfin atteindre l'escalier arboré de diverses plantes. Un jeune homme, blond rattrapa Lisy et l'attrapa par la main ; elle se retourna surprise. 

    -Wes ? Elle continua sa course en traînant le garcon, qui ne lâcha pas même un soupire durant tout le trajet. 

    Lisy arriva au pied de l'immense battisse et traversa ses couloirs de plus en plus animé d'une étrange partie d'individu.

    Des grandes robes très colorés tombantes jusqu'aux pieds. Mais des masques très sombres qui recouvraient parfois la tête tout entière. 

    Lisy par son visage découvert n'y fit pas tâche. Ceux qu'ils croisaient s'inclinaient respectueusement devant Lisy et Wes. 

    Lisy avait ralentit la cadence et rien n'était lisible sur son visage. Elle n'avait pas besoin de masque. 

    Elle pouvait marcher dignement, avec le plus expressif sentiment, sans qu'un autre regard puisse se douter d'une once d'âme dans ce corps.

    -lisy ne nous attardons pas, Père nous attend. 

    La jeune femme fourvoya du regard Wes et s’appéta à retrousser chemin brusquement lorsqu'elle se trouva nez à nez  àson grand ennemi : Léon. Elle lâcha un soupire à peine audible, et continua son chemin. 

    -Messire LorFeulin, je ne vous avez pas ressenti, vous être passez maître en discrétion. Flatta Wes, tout en marchand un pas derriere Lisy aux côté de Léon qui rigolait toujours au flatterie du jeune Wes

    -Tu as suivit le rythme de ta soeur, c'est pas si mal non plus. Lui répondit-il plein debienveillance ou de sarcasme. 

    Lisy s'arreta. 

    -Wes, rien ne sert de nouer lien avec celui là. Elle attrape le bras de son jeune frère et se mit à courir. 

     

     

    ~~

    De nombreuses personnes accueillaient Lisy et Wes. Ceux ci s'esquivèrent aisément et entrèrent dans le salon ou avait lieu la réunion de "famille".

    La table était occupé par les invités. 

    Aux côté du père, se trouvait ses frères et soeurs, ainsi que leurs femmes. 

    Éparpillé et éloigné, se trouvait les enfants de la fraterie. Il ne manquait plus que Lisy et Wes, qui par l'arrivée de Lisy, imposa un silence. 

    Elle tendit un objet enroulé de tissu à son père et s'asseya aux côté des ses cousins. Timidement Wes s'asseya aux côté de Lisy. 

    Le père donna juste le présent à l'une des domestiques en lui chuchotant quelque chose. 

     

    Un silence régna pendant une bonne parti du repas. 

     

    - Je ne prendrais parti à aucun de vous. Ni pour mes enfants de sang, ni pour Léon. Déclara le chef de famille. 

    Lisy se lève brusquement à la mention de "léon" , elle ne tolérait pas qu'il soit mélé aux affaires de familles : 

    -Lor Feulin n'est nullement d'une famille honorable et encore moins d'une famille digne. 

    Une des femme, au carré plongeant et aux yeux perçant, se leva et gifla Lisy, qui accepta la frappe sans broncher. 

    "Lisy" murmurait pourtant Wes juste avant que leur Mère intervienne. 

    -Ton honorable famille porte en son sein Léon. Ajouta la Dame, entre le claquement assourdissant et son écho glaçant. Cesse tes caprices, tu n'iras pas loin ainsi. Elle ne laissa se cristalliser que l'arrogance d'une enfant.

    Droite et élégante Lady Muffin Leybourne retourna à sa place sans même battre du cil ou perdre une once d'estime. Les autres détournaient leurs esprits, personne ne bronchait devant cette grande dame fière. 

     

    Discussions anodines, dût aux pensées introspectives de chacun, furent de nouveaux au grands sujets de l'attablé. Griff du même âge que Wes, ventait ses exploits et ses nombreuses amourettes, avec de grandes femmes très connus. Wes qui l'écoutait d'une petite oreille, ne pouvait que remarquer le faite que Griff ne développe en aucun point ses exploits ou conquêtes. Depuis la tendre enfance Griff mentait, alors il n'y ait pas de raison qu'en ce jour il est changé. Wes qui d'un oeil distrait surveillait également sa sœur, démoralisée et qui n'avait plus rien à émettre. Il s'entreprit d'une même occasion : amuser sa sœur et embarrasser Griff. 

    Le frère jumeaux d'Anton, qui ne convoitait nullement la place de chef de famille, puisque de caractère fluide et curieux contrairement à  Anton, qui, lui ne sortait que pour affaire et plongeait souvent sa tête sur l’élaboration de multiples réflexions. Disons que Jasper,  préférait une vie d'aventure et de distraction. Il contait, lors du repas, quelques de ces aventures dans les contrées du nord, et notamment le jour où il  rencontra une prêtresse d'un dieu du nord. Chose qui passut inaperçu excepté aux oreilles d'Ana, une des sœur par alliance, la femme de Seren, le benjamin de la fratterie. Tout le long durant elle semblait ennuyer de cette réunion, mais Jasper sut la faire réagir au quart de tour.  Parler d'un dieu est ce qui horripilais le plus Ana, le mépris des dieux était la seule satisfaction qu'elle tirait de ce sujet. Si elle apprenait que le nouveau né de Jasper est issu de cette même prêtresse, elle tuerait l'enfant sans une once de remords ou de doutes. Fort heureusement pour l'enfant, Jasper s’abstiendra longtemps avant de divulguer son lien complet avec la prêtresse.

     Ana et sa haine de furie éclata lorsqu'elle comprit que Jasper n'était pas non seulement placide et sans excès, mais aussi très loin de tout ses principe s. Ce jour, elle se promettait de ne plus avoir affaire avec Jasper, combien même était-il le plus proche d'Anton. 

    Personne ne prenait le parti de Ana, ou très discrètement. Anton soutenait toujours son jumeau, alors la fratrie n'interviendrait à quelconque conflit si Jasper y était. Seren ne pouvait défendre son amante, il écoutait les récits de son fils. Qui soudainement sanglote et s'enfuit de l'attablé, sous les rires des enfants. Wes avait démanteler les paroles décousus de Griff. Ana en profita pour s’éclipser du repas.

    Lisy souriait du triomphe de son jeune frère. Le verre qu'elle se distrayait en mouvant et roulant sur la bordure de table, brisa le silence de la fuite de Griff et sa mère, lorsqu'il se divisa sur le Sol ciré. 

    Très vite un domestique accompagna La jeune fille hors de la pièce, tandis que d'autres nettoyaient expressément et impeccablement le sol. Lisy lança un long regard à son frère, qui maladroitement ne sachant pas ce qu'elle souhaitait, se leva pour les accompagner. Elle dévisagea le major d’homme "William ?" Elle soupira pensant à sa rencontre avec Léon sur le chemin. 

    -Si tu es là, cet abruti est ici aussi ? Lui demanda-t-elle en premier lieu. Tandis qu'il lui tend un autre habit. 

    -Il est reparti après avoir saluer tout le monde. 

    Elle soupira de nouveau.

    -Tu pars ? Demanda d'une petite voix Wes. 

    -Oui. Transmets-moi s'il divulgue quelques informations intéressantes. Je compte sur toi Wes. je dois vraiment y aller. 

     -C'est à cause de ton amie hésita le jeune frère. 

    Elle ne répondait que rarement aux questions où on ne peut qu'être sincère; alors elle ne dit rien et partit. Elle ne faisait pas confiance à Léon et redoutait qu'il profite qu'elle ne surveille pas Amy pour poser ses mains dessus. 

     

     

     Infos sur la famille leybourne                                        Chapitre 4


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  •  CHAPITRE 4 : ( Une journée avec Lisy ) [Ufufufu] 

     

     

    Ce qu'appréhendait Lisy arriva. Léon rendait visite à la jeune Amy d'Ill Lusion. 

    -J'ai apporté quelques ingrédients, on cuisine ? Proposa le blondinet très souriant tandis qu'elle le dévisageait surprise. 

    -Ce n'était pas toi que suivait Lisy ? S'interrogeait-elle. Elle se tait soudainement déroutée par le sourire presque diabolique qui se dessinait sur le visage rayonnant de Léon. 

    -Je l'ai croisé mais elle est partie très vite quand elle m'a vu. Il rigola un peu et reprit calme tout aussi vivement que son éclat de rire. Dis, Amy, tu ne veux pas cuisiné ? 

    -Si, si ! Se reprena-t-elle. Entre Léon. 

      Les deux enfants cuisinaient en cette fin d'après-midi tandis que Lisy réglait dernière affaire. A course rapide, elle arriverait certainement pour le dîner. 

     Léon ajouta un ruban à la coiffure d'Amy. 

    -Ne fais pas aveuglément confiance à Lisy, combien même tu l'apprécie. Il hésita à la mettre en garde envers William alors il se tacherait lui même de surveiller son valet. Ce qui le retenu d'autant plus, fut le vacarme à la porte. Amy se lava les main et enfilait son pull tandis qu'elle se dirigea vers l'entrée. 

     

    -Agent Moya. Se présenta strictement l'homma à la porte. 

    Amy ouvrit curieuse du visiteur. 

       Les épais sourcils au dessus des yeux désorbités inquiétèrent immédiatement la filette. Julio Moya visionnait le monde d'un oeil sévère, alors même ses quelques secondes d'attendrissement, dieu garde la beauté impeccable d'Amy, ne prenait que place infime de l’interrogatoire corporelle qu'il lui ferait. Elle le laissa entré ; elle ne l'avait pas croisé depuis l'enterrement de sa mère, Debbie D'Ill Lusion. Il n'était pas venu jusque ici par condoléance, le déces des epoux était péremptoire.
      Ils s'installèrent dans un salon très peu décoré ce qui attirait l’œil sur le portrait famillial ; Une mère au regard et sourire doux aux côté d'un grand homme, julio le reconnait, c'était bien Fayçal D'Ill Lusion ; deux fillettes dont l'une portait les yeux vert vif d'Amy, la seconde ne marquerait pas l'esprit de Moya. 

     -J'entame cette entrevu au vu des événements récent. Commença l'inspecteur. 

    Léon entra dans la pièce, salua distraitement l'homme et s'approcha d'Amy. 

    -C'est qui ? Lui chuchotait-il. Amy souriait. 

    -Il connaissait mon père, je crois qu'il est policier. Annonça-t-elle. Léon affina son rictus involontaire vers son sourire le plus charmeur et se retourna vers Julio. 

    -Léon Lor Feulin, je suis un proche de la petite Amy. Se présenta-t-il. Sans doutes trop respectueusement, il tendait sa main à Moya qui la serra fermement : l'on pourrait dire " une bonne poignée de main." 

    L'agent tendit à la suite sa carte d'identification au jeune homme, soutenant l'ambiance respectueuse que proposait Léon. 

    -Je cherche une jeune femme, "Lisy Leybourne", elle est de vos connaissances n'est-ce pas ? 

    -Lisy ? Répéta Amy. Léon  eut un petit rire discret presque incontrôlable. Amy s'inquiétait. Il lui est arrivé quelque chose ? 

    - J'aimerais lui parler, mais elle reste introuvée. Serait-elle ici ? 

    Elle secouait sa tête "je ne l'ai pas vu aujourd'hui. Hier nous buvions le thé chez elle." expliqua-t-elle se remémorant au mieux. Si Amy avait pour habitude de parler honnêtement, elle ne parla pas de la lettre, ni d'aucun secret n'est-ce pas. 

    -Alors je m'en vais. Il se releva mais s'arreta au bout du troisième pas. Et, dites-moi où traîne-t-elle ? 

    Amy réfléchissait mais léon prit la parole : 

    -Je l'ai rencontré en boite de nuit... Il relevait sa manche et regarda l'heure. Dans une ou deux heures elle devrait siroter une boisson avec un croquant. Ajouta-t-il avec une certaine malice audacieuse. 

    L'homme se contenta d'un léger soupire et s'en alla. Il n'y avait pas vraiment de boite de nuit dans ce village. Lorsqu'il fit son rapport à Olivier, celui-ci, ordonna à Julio de boire un verre avec Senri. 

     

     ~ 

    Le couché de soleil s'éternisait, sans doutes attendait-il que Lisy rentre seine et sauve en son foyer si chéri. Elle courrait tant, que très étrangement, la voici se hâtant tout doucement vers la maisonnée de son amie. Elle ralenti et détournait sa trajectoire, son instinc repérait toujours l’œil familial qui lui collait tant.
    Rien ne semait le larbin, Lisy songeait à un affrontement ; il lui suffirait de l'effrayer un peu.
    Elle s'arrête. 
    Celui qu'elle avait pris pour larbin s’avança aux côtés de Lisy. 

    -Difficile à rattraper. William, le major-d’homme de Léon, suivait Lisy depuis la capitale. 

     -Je pensais que tu suivais ton maître ? 

    -Non, je vous attendais mais vous vous êtes précipités. 

    Lisy jeta un coup d'oeil derrière eux et se laissa accompagner dans un café nocturne. Le serveur reconnaissait William et le saluait très courtoisement. 

    -Un lait chaud et un verre de vin rouge mon bon ami.  

    -J'espère que le lait est pour toi. Lui chuchota-t-elle. Il lui caressa la tête en guise de réponse. Elle l'écarta d'un geste. 

    Le serveur déposa le lait devant lisy et tendit le vin au major d’homme.  

    -Et, avez vous des framboises ? Demanda Lisy distraitement.  William, depuis quand es-tu sous les ordres de Lor Feulin ? Lui demanda-t-elle soudainement. 

    William souriait, il fit mine de réfléchir mais ne répondu pas interrompu par le serveur qui apportait des noisettes à Lisy. Elle les fixait. 

     

    -Puis-je me joindre à vous ? Un homme sirotait sa bière sur le comptoir, Lisy lui jeta un regard peu acceuillant, mais trinqua avec le verre de William. L'homme riait. Vous faites des poèmes ? Commenca-t-il. 

     -Je suis musicienne. Elle lui répondit ceci à cause de l'instrument que l'homme avait à ses côtés. Vous jouez ? Elle pointait du doigt la housse. William reprit son verre et le termina sans savourer. 

    -Hé bien, vous avez l'oeil, oui, avec mon frère on jouera quelques nuits ici. Nous sommes les Memento Brothers ! 

    Lisy regarda minutieusement l'homme. 

     

    -Memento, jouez quand vous êtes prêts. Déclara le serveur. L'homme aqcuiessait et soutenu le regard de Lisy, elle semblait avoir la parole difficile. 

    -On y va. William attrapa la manche de Lisy. Celle-ci se laissa faire mais n'oublia pas de piocher quelques noisettes. 

    L'homme rigolait. 

     

     

    -Je ne suis pas aussi sanguinaire que Lor Feulin. Tu n'as pas à m'extirper des humains. Soupirait Lisy. 

    Lisy accélérait, elle respectait William mais ne supportait pas que l'on empêche quelque déroulement. Les interruptions ennuyaient profondément Lisy. William cru bien séant de ne pas la rattraper ni même la détromper. Ils arriveraient séparément chez Amy.

     

     

    Amy ne se réveilla pas quand Lisy entra dans sa chambre, ni même quand auparavant Léon l'eut quitté. Lisy embrassa son amie avant de songer à ses côtés. Les vampires ne dormaient pas, le sommeil d'Amy captivait Lisy comme l'on est attendrit d'un chat qui dort. 

     

     

     


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  • Attention illustration peu talmentueuse 

    Ne prenons pas gare à la qualité de mon tracé.... ni des nombreux fails -Je m'en occupe déjà : (dépassement de couleur, mains chelous, le nez de Lisy, nan enfaite leurs têtes à tous, les proportions chelous... bref passons tout cela... :'( (je m’améliorerais peut etre à force d’obstination) 

     

    Quant au mots ils étaient là quand ce dessin n'était qu'un espèce de croquis dont les détails ont été dépourvu à l'encrage.... )

     

    Je n'imagine pas du tout Amy avec une tête ainsi (on dirait qu'elle est trop courageuse, elle l'est mais ce n'est pas son trait de caractère, Orf les apparences sont trompeuses, orf c'est dur d'imprimer une image mentale...  ) Elle est celle qui m'a le plus surprise. Léon hm il doit avoir une tête d'enfant , c'était un peu dure... Lisy je vaios pas reparler de son nez à moitié fait ni de ses yeux pazs très parallèlle... 
    William il avait si peu de visage dans ma tête qu'il est celui qui me décoit le moins 

     

     

    Pour indication : 

    Du brun au blond = William, Amy, Lisy, Léon 

    (Rien en va sur cette photo à part l'approximation de leurs couleurs de ch'veux. --' 

    J'arrete de cracher sur ce mignon petit dessin :')  Vous en pensez quoi ? Vous avez des conseils pour des gens comme moi ? 

     

    Pour côté positif en plus du support visuel, je trouve que néanmoins leurs attitudes sont plus ou moins respecté : Léon qui rit ou chuchote des sottises à Lisy; Lisy qui essaye de rien montrer mais garde l'oeil sur Amy. Le dessin est stactique et je n'ai pas les techniques pour le mouvement, mais Amy sur ce dessins dans un especèe de chancelement retenue par William, Amy semble plus encouragé que Lisy. William, comme je disais tiens Amy (je ne le savais pas tactile comme Léon mais bon) Son sourire allongé et son regard un peu tordu me font rire, il a les même grosse joue que Léon, à force de le cotoyer (à l'époque, avant qu'il ne rencontre Léon, William avait des traits plus dures ) 

     

     


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  • FAMILLE LEYBOURNE 

     

    Famille de vampire, très récente. Dirigé par Anton et sa femme Muffin. Jasper, le frère jumeau de Anton demeure malgré tout un personnage trrès influant notement pour son excentrique caractère tranchant avec tout ses frères et soeurs. 

    Le nom "leybourne" suffit à se faire respecter par la majorité des clan vampiresque. Les époux qui portent le noms en sont donc autant priviligier. 

     

     

     

     (Je vais faire un arbre généalogique bientot à la place de ce euh tableau )

    FRATTERIE DES ADULTES             Epoux principaux                            Enfants 

    ANTON (o/^)                                     *    MUFFIN (o+)                            = Lisy (o+) et Wes (o/^)

    JASPER (o/^)                                     * Une prétresse (o+)                     = Katrim (o/^) + adoption de Léon (o/^)

    NORA (o+)                                         *   Nerez (o/^)                                = Iz (o+) Enya  (o+)

    KALI (o+)                                           *  Webway (o/^)                              "Ernest (o/) + Lily (o+)

    SEREN ( o/^ )                           * Lady Ana Katarina (Delemn)   (o+)         = Baeka (o+ ) Griff (o/^

     

     

    o+ = femelle

    o/^ = Mâle

     

     

    Les cousins [enfant] : 

    Lily et Katrim sont des bébés

    Griff, Iz et Wes ont plus ou moins le même âge 

    Lisy, leon et baeka          //          //

    Enya est la plus âgé avec Ernest

    Enfaite Nora a d'autre enfant qui ont été affilié à la famille paternelle autre que Nerez.

     

     

     


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  • 1.

    Nom entier : Amy d'll Lusion

    Age : 16 ans

    Passe-temps : nager, rire, faire du vélo...

    Aime : chocolat, Abricot et les oisaux. Marcher dans la foret avec Lisy.

    Caractere : Exubérante, Imbécile, heureuse, souriante,

    Date de naissance : 12 avril. (Belier)

    Habits : Chemisier & Jupes.

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    2.

    Nome entier : Lisy Leybourne

    Age : 17

    Passe temps : Faire de la balançoire, grimper aux arbre, chanter, écrire

    Aime : Noisette, Les chats, les framboises. Marché dans la foret en tenant la main d'amy...en silence.

    Caractere : Calme, mystérieuse, moqueuse

    Date de naissance : 9 décembre. (Sagittaire)

    Habits : Sweet & Short

     

     Image associée

     

    3.

    Nom complet : Léon Lor Feulin

    Age :  17

    passe-temps : Courir, se battre, draguer,

    aime : se battre, Les enigmes, Les pates, renard,

    caractere : Attentionnée, beau-parleur , drole, charmeur

    Date de naissance : 30 décembre (capricorne)

    Habits : Chemise

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    4.


    Nom complet : William

    Age : 19

    Passe-temps : s'occuper de Léon et Amy et lisy, servir Léon

    Aime : Léon, Amy et Lisy

    Caractère : Calme, généreux,  distant

    Date de Naissance : 17 Septembre ( Vierge)

    Habbits : Costard.

     

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  • Une jeune fille seule et recroquevillée contre un mur pleurait. Ses longs cheveux noirs s'ébouriffaient et s'emmêlaient par le vent, la pluie et la poussière. Ses larmes laissaient une trace humide sur son visage poussiéreux. Ses larmes se mêlaient à la pluie qui devenait de plus en plus lourde. La fillette ne bougeaient pas. Elle était maigre, beaucoup trop maigre, et ses vêtements et son corps étaient abîmés et trempés.
      Une ombre s'approcha de la jeune fille. C'était une héritière cela se voyait au premier coup d'oeil :  une robe sophistiquée, et des talon lumineux et brillant. Elle regarda fille, elle s'accroupit à sa hauteur et elle tendis le manche orné de bijou somptueux de son parapluie au dessus de la misérable. La première ne l'avait pas tout de suite remarqué. "Appelle moi Amy." Surprise la jeune fille leva la tête et remarqua la jeune fille. Sous ses artifice l'enfant au parapluie avait de grands yeux verts, des cheveux assez courts, ondulés et rose et souriait tendrement. La dénommée Amy prit alors la jeune fille et l'emmena dans sa grande demeure.


    ~~

           "Depuis ce jour je ne l'ai jamais oublié. Cette fille au sourire innocent. La première humaine à m'adresser la parole,ma première "amie". Mais son odeur était si, alléchante que je n'ai pas pu me retenir. J'ai planté mes crocs dans sa chaire. Son sang circulait vivement en moi. Elle ne se débattait pas. Elle ne criait pas. Elle souriait juste, et les seuls mots qu'elle eut dit était "Ne t'inquiète pas."  J'oubliais cette fille au plus son sang me saisissait, il était trop tard, j'enlevai mes crocs mais elle s'écroula au le sol, là, en souriant, avec ses yeux encore ouvert qui me regardait sans haine. Je me répugne. Pourquoi c'est toujours ainsi ? Je ne voulais pas blesser cette fille qui m'a sauvé. Elle comptait pour moi.

    Pourquoi ai-je craqué ? Pourquoi suis-je ce monstre ? Pourquoi ? Tout ce que je souhaite maintenant c'est disparaitre  pour ne plus faire de mal à personne mais un "être  éternellement assoiffé de sang" Hein ! Je ne peux donc pas mourir comme ces humains? J'aimerais mourir...enfin quel est ce mot ? Que signifie-t-il ? Mourir...Mourir...? On n'a pas ce luxe, nous, les êtres éternels assoiffés de sang. "

     

     

    ~~ Dans un autre lien, lors d'un autre temps deux hommes font connaissance.

     

    -Messire Léon, vous n'êtes pas un Leybourne ? 

    Le jeune blond rigola à cette question, puis reprit rapidement son sérieux.

    -On ne t'a pas raconté cette histoire ? Un temps. Jasper Leybourne a trouvé un enfant abandonné ou perdu. 

    Il sort de sous son vêtement un pendentif à tête de lion. "Léo." Le major d'homme regarde attentivement le bijou avant que Léon ne le range et continue son récit. "L.F comme initial. Jasper s'est occupé quelques temps de cet enfant, le confiant à droite à gauche à de respectable famille, mais chaque fois ces familles se déchiraient à la venu de l'enfant. Jasper se démenait à comprendre ce qu'il se passait mais trop occupé pour la charge d'un enfant le laissa filer sa vie solitaire. Mais un jour vient, ou Jasper devait s'ennuyer puisqu'il retrouva cet enfant qui se faisait appelé "Léon LorFeulin" " Il se mit à rire. "J'étais assez fier d'avoir trouvé mon nom. Jasper m'a ramené dans son foyer, mais ma renommée est telle que je garde ce nom. " 

    -Vous vous dévoilez bien tant.

    Léon souriait. 

    -Je me présente ouvertement. Et toi, quel est ton nom, tu peux bien me dire au moins cela.

    -Alors, je me présenterais ouvertement également. On ne m'a jamais que nommé "William" , je n'ai pas de famille alors je servais Lord Jasper Leybourne en premier lieu jusqu'à son dernier ordre. Il se tait un instant comme pour s'assurer que Léon l'écoute bien et articule cela :  Je vous promets loyauté et fidélité. 

    William s'inclina droitement. Léon le regarda de part en part vraisemblablement pour discerner une quelconque once de sincérité ou d'astuce. 

    -Tu es aussi séduisant que moi, tu dois être un L.F. S'il le faut porte mon nom. William LorFeulin. Déclara-t-il solennellement 

     

    C'est ainsi que William jura protection et obéissance au jeune Léon LorFeulin. Ce duo s'entendait si bien qu'il naîtrait, au delà d'une relation "maitre-serviteur", une grande amitié. Ils s'installèrent ensemble dans une vie en mouvement, lentement Léon s’intéresse à l'une de ses nouvelles sœurs, la plus influente et entra dans sa vie.


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