• petit jeu

    Je vais prendre la page 64 avec la première phrase (en entière) de 6 livres.

     

    C'est partiiii :

    les chants de maldoror (lautréamont) : "Nécessairement nous avons dû nous rencontrer dans cette similitude de caractère ; le choix qui en est résulté nous a été réciproquement fatal"

    Sallinger (BMK) : "Et c'est pour faire plaisir au femmes, rien qu'à cause du plaisir des femmes, le Rouquin ?"

    Soif (Nothomb) : "Il m'aide !"

    Le rire (bergson) : " De là,  il est vrai, une nouvelle série de difficultés pour le comique."

    Zulu  (Férey) : "A dix-neuf ans, on ne raconte pas forcément tout à son père, avança Neuman

    La colère des aubergines (Sharma) : "La cuisine exhalais du matin au soir une odeur de mets riches qui emplissait les pièces, et les membres de la famille multipliée étaient nourries toutes les heures  comme des bébés."

     

    J'avais envie d'en aire une mini histoire mais bon, voici autre chose le temps que mon esprit se raconte une courte histoire sans trop de détail ahah :

     

    personnages : le rouquin, IL, Neuman, Nous (avec une similitude de carac) - Le père (à qui on ne dit pas tout) , membres de la famille, Les femmes,

    temporalité : 19 ans , matin au soir , toutes les heures,

    Lieu : Cuisine, les pièces

    objet : mets riche odeur, nourries, famille multiplié, ne pas tout dire, difficulté pour le comique, aide, pour les femmes ? ,  similitude de caractère réciproquement fatal.

    comment : rencontre, il m'aide , de là comme des bébés

     

    Bon je partage cela car ça m'amuse mais ce n'est peut être paaas si drôle. De là,  il est vrai, une nouvelle série de difficultés pour le comique. Si vous lisiez jusqu'ici, je suppose que nécessairement nous avons dû nous rencontrer dans cette similitude de caractère ; le choix qui en est résulté nous a été réciproquement fatal. Pour ce que je vous force à lire et ce que je m'impose à écrire.

    -Et c'est pour faire plaisir au femmes, rien qu'à cause du plaisir des femmes, le Rouquin ? Mon père, Neuman m'interroge, cela me recadre. Il m'aide ! Mais je ne pouvais lui en dire d'avantage et lui fait comprendre.
    A dix-neuf ans, on ne raconte pas forcément tout à son père, avança Neuman avant que ma tante l'appela des fournaux. La cuisine exhalais du matin au soir une odeur de mets riches qui emplissait les pièces, et les membres de la famille multipliée étaient nourries toutes les heures  comme des bébés, Sauf moi et je ne pouvais le dire à mon père.

     

    Voili voilouuuu !! Il y a encore milllleeees versions possibles ! Donc si vous êtes pris d'inspirations je serais ravi de vous lire !


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